Boryokudan
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Boryokudan - Mafia Forum
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 { Taguchi Jun :: blablabla

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AuteurMessage
Taguchi JunTaguchi Jun
Civil
Messages : 1474
Âge : 20 ans
Situation : Ca dépend des jours o/
Métier : Barmaid au Black Cherry

{ Taguchi Jun :: blablabla Vide
MessageSujet: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitimeMer 19 Jan - 16:09

    • 素性 Information - Identité
      « Votre seconde vie, votre personnage ♪ »
I. Taguchi Jun.
    Taguchi, elle l'a pas choisi et elle trouve bien ça dommage. C'est moche comme nom ne? Heureusement qu'elle a Jun pour relever le niveau. C'est bien, c'est beau, c'est court.

II. Age :
    21 ans et toutes ses (belles) dents. 01/05/1990 à Fukuchiyama.

III. Sexualité :
    Rukisexuelle Harusexuelle Hétérosexuelle 8D

IV. Rang :
    Civile

V. Métier :
    Eh bien, si Jun a débarqué à Kyoto, c'était avant tout pour terminer ses études à l'université. Même qu'elle chauffe rarement les bancs de la fac, préférant servir au Black Cherry en attendant de percer dans le mannequinat. Si, si, elle y arrivera èé.

V. Crédo :
    « Rien ne me résiste »

    • 性格 T'as cru la vie c'tait un kiwi?
      « M'en fous d'ton histoire; j'ai faim. »

    « C'est moi! J'suis rentrée! »

S'était-elle un jour attendu à ce qu'il lui réponde? Non, probablement jamais. Leurs horaires de boulot étaient bien trop différents pour cela. Quand elle partait au Black Cherry, il était déjà parti en «affaires» et elle n'arrivait pas à s'endormir avant qu'il ne rentre, tard. Ou tôt le matin. Mais alors pourquoi prenait-elle cette précaution? Bah, après tout, on ne sait jamais. Il pourrait surgir de nulle part, genre de la salle de bain, une simple serviette autour des hanches. Ou alors, il serait dans sa chambre, à faire...Des choses! Il? Oui, son colocataire, Sadaharu. Tous deux se connaissent depuis des années, depuis «toujours» pour Jun. Et même s'ils se sont perdus de vue durant de nombreuses années, il a gardé une place importante dans son cœur. Déposant son sac à main sur le canapé, elle repensa à comment elle en était arrivée là... Il n'y avait qu'assise dans le canapé, quand la fatigue d'une dure journée de travail se faisait sentir, qu'elle se permettait ce genre de retour en arrière...

Rares étaient les jours où elle se rappelait son enfance. Loin de la ville. Eh ouais, on dirait pas comme ça, mais Jun, elle a vécu à la campagne. Elle considère ça d'ailleurs comme son plus grand traumatisme. Nan mais sérieux, être née à mille lieux de la capitale ou de toute autre grande ville, quand on veut devenir riche et célèbre, c'est pas des plus pratique. Mais passons. Née, il y a de ça bientôt 21 ans, à Fukuchiyama -vous connaissez? Moi non plus-, Jun vécut toute son enfance dans un petite village voisin. Eh oui, qui aurait pensé que cette pétillante jeune femme eut pu passer toute son enfance à jouer dans une cour de ferme? Et pourtant elle a nourrit avec soin les oies de sa grand-mère et parcouru les chemins environnants en long, en large et en travers sur son vélo rose. Oui, j'insiste, il était le rose le vélo. C'était une petite vie tranquille, comme tant d'autres enfants "des champs" en ont vécu. Elle allait à pied à l'école du bourg, son petit sac sur le dos et en revenait de la même manière une fois le soir venu. Une vie simple, dont elle ne s'est jamais plainte. Car c'est à cette époque que remonte sa plus belle rencontre. Et ses plus beaux souvenirs.

Car à cette époque, elle ne faisait pas une seule bêtise sans son meilleur ami : Sadaharu. Un peu plus âgé qu'elle, il vivait avec sa mère chez ses grands-parents. Ces deux-là passaient leur temps à jouer et à se chamailler. Parce qu'on dirait pas comme ça, mais c'est que Jun, elle n'était pas particulièrement facile à vivre, et elle ne l'est toujours pas d'ailleurs. Déjà à l'époque, elle aimait faire son petit chef, avoir tout le monde sous ses ordres et ainsi ne pas avoir à bouger le petit doigt. Elle a bien essayé avec Haru mais il s'est jamais laissé faire le bougre! Et même qu'il lui tirait les cheveux! Bon okay, en guise de représailles, elle lui donnait des coups de pied dans le genou. Œil pour œil, dent pour dent, telle aurait pu être leur devise. Mais même s'ils passaient l'après-midi à se chamailler, il n'était pas rare de les retrouver un peu plus tard à dormir dans le même lit, l'un ronflant dans l'oreille de l'autre tandis que la seconde bavait affectueusement sur le premier.

Mais tout cela prit bien vite fin, et ce, de manière brutale. Si vous ne l'aviez pas encore compris, la maison de Jun était voisine de celle des grands-parents d'Haru. Alors qu'un jour elle prenait un bain de soleil à sa fenêtre, la petite fille remarqua une grosse berline noire, aux vitres de la même teinte, garée dans l'allée gravillonnée devant l'antique baraque. Intriguée, elle observa interdite la scène qui se déroulait en bas. Aucun son ne lui parvenait et la scène semblait tournée au ralenti. Un homme, qu'elle n'avait jamais vu auparavant mais qu'elle identifia immédiatement comme étant le père de son meilleur ami, cet homme absent qu'elle pensait mort ou en prison -oui, ça a de l'imagination les enfants, surtout Jun, n'allez pas lui dire qu'il n'y a jamais eu de dinosaures sous son lit, okay?-, trainait ce dernier derrière lui. Jun eut beau courir aussi vite qu'elle le put dans les escaliers, en essayant de ne pas se rompre le cou à chaque marche, la dernière image qu'elle eut de son ami fut de le voir poussé à l'intérieur de la voiture, son père montant à sa suite. La voiture démarra et s'en alla dans un crissement de pneus. Pas même un au revoir. Les larmes coulèrent, ou peut-être que non, elle ne s'en souvient pas. Désormais elle n'en a (presque) plus rien à faire. Cet épisode resta pourtant ancré dans sa mémoire pendant des années.

Bref, nous passerons sur les épisodes plus ou moins glorieux de son adolescence. Devant quitter son petit village, elle rejoignit la ville la plus proche, celle donc de Fukuchiyama, pour y suivre le reste de sa scolarité. Au collège, comme au lycée, elle ne fut ni de celles que l'on qualifiait de «populaires» ou bien encore de «victimes» puisque se trouvant du côté des «bourreaux». Ouais, Jun, c'était la rebelle grande gueule assise au fond de la classe à mâcher son chewing-gum, les pieds sur la table. Elle n'avait jamais été du genre «intellectuelle» non plus, elle était bien trop maline pour ça. Son bagou sans pareil étant capable de la sortir des situations les plus tordues. Où elle avait le don de se fourrer. Quand ce n'était pas son baratin, elle usait de ses charmes et parvenait ainsi bien souvent à ses fins. Qu'importait les moyens, quand elle désirait quelque chose, rien ni personne ne lui résistait. Les petits amis se succédant comme les passions : la guitare, la peinture, le tir à l'arc, le kendô... Jun aura tout fait, tout testé. Sauf la danse et la cuisine. Ça faisait un peu trop fifille à son goût. M'enfin, on s'en fiche pas mal.

Une fois son diplôme de fin d'étude obtenue, avec un peu de mal quand même, elle fut dans l'obligation de se trouver un nouveau terrain de chasse, cette ville étant devenue trop petite, trop familière et surtout bien pauvre en opportunités. Non, son rêve, à Jun, c'était la grande ville. Elle jeta son dévolu sur Kyoto. Et pourquoi pas Tokyo? Tout simplement parce que Tokyo lui paraissant trop loin et trop grande. Et puis, elle rêvait de voir un jour les cerisiers en fleur dans l'ancienne capitale. Pour faire plaisir à ses parents et pour leur donner une bonne raison pour lui envoyer de l'argent régulièrement, elle s'inscrivit à l'Université, en Sociologie. Mais elle ne chauffa pas les bancs de la fac bien longtemps... Bien vite elle abandonna les cours pour s'adonner à tous les plaisirs qu'offrait la ville. Ce n'était plus que shopping et sorties en boîte, au karaoké ou au cinéma. Sauf que, c'est bien beau de s'amuser, mais l'argent que ses parents lui envoyaient ne lui fut bientôt plus assez suffisant. Malgré sa maladresse effroyable, elle réussit à se faire engager au Black Cherry, un bar huppé pas très loin de l'appartement qu'elle partageait avec son petit ami de l'époque, rencontré au lycée et qu'elle avait suivi. Enfin, «partageait», qu'elle squattait aurait été plus juste. Ne plus payer de loyer avait été une des solutions pratiques qu'elle avait trouvé pour dépenser au mieux son argent.

Barmaid, elle n'aurait jamais pensé avoir à passer par cette case-ci mais elle se prit bien vite au jeu. Et son plus beau sourire pardonnait bien tous les verres brisés. Et puis, Kazuhito, son collègue n'était pas en reste, à croire que tous deux participaient au concours de l'employé le plus maladroit. Une belle équipe de choc en somme. Mais cela ne semblait déranger personne, puisqu'ils avaient toujours réussi à garder leur poste, malgré les remontrances. Les pourboires étaient au rendez-vous, de même que les sourires et les plaisanteries. Oui, on devait les apprécier. Puis fallait dire que la clientèle elle était parfois douteuse... Il y en avait que l'on voyait entrer mais pas ressortir. Jun en était venue à supposer qu'une autre sortie devait se cacher quelque part, mais il y avait des sujets tabous dans ce bar. Et des endroits interdits... Elle n'avait, par exemple, pas le droit de descendre à la cave. Cela lui avait été formellement interdit. Et, pourtant curieuse de caractère, elle avait pour l'instant réussi à résister à l'appel de l'inconnu... Pourtant, elle en imaginait des choses, sur ce sous-sol. Son imagination débordante ne l'ayant jamais quitté... Et ça allait du club sado-masochiste à des salles d'interrogatoires du KGB en passant par un laboratoire secret dans lequel on testait de nouveaux virus. Faudrait qu'elle arrête de regarder la télévision des fois...

Si travailler de nuit dans un bar, en compagnie d'hommes et de quelques femmes, et parcourir les rues bondées de Kyoto, pour des après-midi shopping ou de casting en casting, ressemblait au paradis pour la jeune femme, il en est un qui ne fut pas du même avis qu'elle... Son petit ami, maladivement jaloux, alerta ses parents de la situation, qui lui coupèrent les vivres, et la mit dehors. C'est une Jun hébétée qui se retrouva du jour au lendemain avec toutes ses affaires sur le palier. La première solution qu'elle trouva fut l'hôtel. Miteux. Mais pas cher. Mais dans les moments les plus difficiles, sa bonne étoile avait toujours su se rappeler à son bon souvenir...

Qu'elle était la probabilité pour qu'un jour, elle retombe sur lui? Qu'elle était l'infime chance pour qu'un jour, il réapparaisse devant elle? Sûrement moindre. Pourtant le destin les avait réuni. Lui, Sadaharu. Son Haru. Le soir où il avait poussé la porte du Black Cherry, elle pensait avoir affaire à l'un de ces mecs, en costume chic, qui passait, sans la voir, devant le bar avant de rejoindre l'arrière boutique et descendre à la cave. Elle était sûre qu'il s'y tramait quelque chose de louche, mais certains avaient l'air peu commode, alors elle préférait rester dans son coin, à observer discrètement. Mais quand même, comment pouvaient-ils faire pour passer sans la voir? Quand même! C'était pas ses cheveux d'un rouge flamboyant qui passaient inaperçus, ou son look douteux qu'elle prenait plaisir à cultiver: talons hauts, laçages suggestifs, vêtements chics dans des teintes de noir, gris et blanc, quelques touches de rouges, les gens se retournaient sur elle dans la rue, mais ces regards elle en avait besoin pour se sentir belle, vivante... Mixant fringues vintage et pièces de créateurs, ce look, c'était son book!

Mais revenons-en au Black Cherry. Ce soir-là, quand la clochette tinta pour signifier que quelqu'un venait d'entrer, Jun releva les yeux de sa tâche pour accueillir comme il se devait ce nouveau client. Elle se figea instantanément et automatiquement, le verre qu'elle tenait entre les mains lui échappa, se brisant sur le sol. Un de plus... Elle n'arrivait pas à croire ce qui se déroulait sous les yeux. Il était là, devant lui. Bien plus grand, bien plus beau que dans son souvenir. Qui remontait à plus de 10 ans, vous m'excuserez. Lui, ne sembla pas la reconnaître. Il faut dire qu'elle n'avait pas non plus les cheveux roux, à l'époque. Il portait lui aussi un costume et l'ambiance s'était faite feutrée quand il était entré. Il faisait partie de la bande... Elle le regarda s'approcher et passer sans la voir, lui lançant juste un sourire amusé en voyant le verre brisé qu'elle tenait dans les mains. Un simple «Haru» franchit la barrière de ses lèvres, presque silencieux, mais qui suffit à le figer sur place. Il l'avait reconnu. Jun ne put résister longtemps à ce souffle de vie qui prit possession de son corps et de son cœur, se précipitant dans ses bras, elle l'enserra de toutes ses maigres forces -précisons quand même qu'elle en avait juste assez pour tirer son épingle du jeu en période de soldes- et abandonnant le bar, pour elle, et le grand patron, pour lui, ils s'installèrent tous les deux au calme pour combler ce vide que Sadaharu avait laissé derrière lui dix ans plus tôt. Toujours aussi bavarde, Jun monopolisa la conversation, lui racontant par le menu tout ce qu'elle avait pu vivre, de banal et moyennement intéressant, depuis qu'il était parti. Elle n'apprit qu'une chose de lui, mais qui suffit à éclairer bien des choses : son appartenance aux Yakuza...

Sadaharu avait toujours été quelqu'un de malin et de réfléchi mais il avait commis une erreur, une seule erreur. Celle d'accueillir Jun chez lui. Lors de leurs retrouvailles, il avait été sensible à son histoire (mais si, rappelez-vous, ce petit ami qui l'avait viré de chez lui. Et qu'elle avait fini par quitter, bien sûr), et lui offrit le gîte et le couvert le temps de régulariser sa situation. Bien mal lui en prit, parce que Jun avait toujours été du genre envahissante, et il faut dire qu'elle prit sacrément ses aises dans son appartement. Il avait d'ailleurs fini par lui louer la chambre d'ami.


Jun fut sortie de ses pensées par la sonnerie stridente, provenant de son jeu vidéo préféré, de son téléphone portable. Elle partit en quête de l'objet dans son sac toujours posé à ses côtés. Elle sortit une quantité monstrueuse d'objets et d'accessoires tous plus inutiles les uns que les autres avant d'en extraire le téléphone où pendait un straps en forme de poussin jaune. Oui, des fois elle craquait pour des trucs bien kitsch... C'était un message d'Haru : «Je rentre tard ce soir, peut-être pas du tout. Tu as à manger dans le frigo». Un large sourire s'étendit sur les lèvres de Jun, à la fois amusé, triste et inquiet. Elle n'allait peut-être pas dormir cette nuit, guettant le bruit de la clé dans la serrure puis celui de ses pas jusqu'à sa chambre... Ce n'est qu'alors, rassurée, qu'elle s'en irait rejoindre Morphée.

Se levant difficilement du canapé, elle se dirigea vers la cuisine et ouvrit le réfrigérateur. Il lui avait encore préparé un festin. Heureusement qu'il était là, son Haru. Car sans lui et son talent de cuisinier, elle se nourrirait exclusivement de pâtes en sachet et de paquets de chips. Oui, sans lui, elle ne serait pas grand chose. Elle n'habiterait pas cet appartement luxueux et n'aurait pas des bras dans lesquels elle viendrait pleurer à chaque fois qu'elle se fait larguer... Jun n'a jamais aimé être seule et reste rarement célibataire bien longtemps. Et en couple encore moins longtemps. Et c'est toujours vers son meilleur ami qu'elle revient quand elle a besoin de s'épancher sur le «salaud» -oui, c'est toujours elle la victime dans tout ça d'abord èé- qu'elle vient de quitter. Et quand Haru l'engueule parce qu'il en a marre de tout ça et de son comportement de collégienne, elle claque la porte de l'appart" pour aller pleurer sur le canapé de Kazuhito, qui eut lui aussi la merveilleuse idée de l'héberger une nuit ou deux. Pourtant, elle finit toujours par revenir. Parce qu'elle a besoin de lui, de son sourire, de ses bras, de sa voix... Elle range même toutes ses affaires et ne laisse plus rien traîner dans le salon -hormis les consoles de jeux- pour lui faire plaisir, même s'il ne semble se rendre compte de rien...

Post-it ;
Jun c'est 4 piercings à l'oreille gauche et un à l'oreille droite ; un piercing au nombril ; un tatouage sur le pied droit et un dernier au creux des reins ♥


    • 自身 & un peu...de vous même
      « Allez, on est curieux on veut tout savoir ♪ »

• Pseudo : Toujours le même o/ Jun/Pocky/Undy 8D
• Age : Toujours le même (+1 T_T) bref, pas loin des 21.
• Expérience Rp : Au ras des pâquerettes.
• D'où connaissez vous Boryokudan ? Azy, c'quoi c'te question?
• Chocolat ou Fraise ? CHOCOLAT!
• Personnalité Prise : Su -Tonomari Model-
• Code : Je sais paaaaaaaaaas (A)


Dernière édition par Taguchi Jun le Ven 4 Mar - 19:03, édité 6 fois
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Satake TsurukiSatake Tsuruki
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MessageSujet: Re: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitimeMer 19 Jan - 23:30

Citation :
• Code : Je sais paaaaaaaaaas (A)
Comment ça tu sais pas è.é
Voyoooooons (a)

Allez, Gambate pour ce 2eme round !
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Taguchi JunTaguchi Jun
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MessageSujet: Re: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitimeDim 30 Jan - 0:24

J'AI FINI ICI AUSSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII o/
2724 mots èwé
Et c'est presque pas nul xD
J'm'autovalide hein? 8D
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Satake TsurukiSatake Tsuruki
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{ Taguchi Jun :: blablabla Vide
MessageSujet: Re: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitimeDim 30 Jan - 0:29

Ah bah oui x) La flemme de te lire & j'ai confiance alors x)
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Taguchi JunTaguchi Jun
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MessageSujet: Re: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitimeDim 30 Jan - 0:42

OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIS o/
Autovalidation 8D
Je m'aime, j'suis la meilleure, j'suis la plus belle xD
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MessageSujet: Re: { Taguchi Jun :: blablabla   { Taguchi Jun :: blablabla Icon_minitime

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